Le Centenaire de la Révolution de 1917 produit aussi son lot de publications, inégales,en histoire de l’art. Parmi elles, le dernier volume de Ligeia est peut-être l’une des plus fécondes. La question qu’elle pose est la suivante : pourquoi le rapport entre révolution et arts (mais encore entre arts en révolution et révolution politique, ou entre art révolutionnaire et art de la révolution) constituent-ils des couplages aussi problématiques, tant en général, qu’en particulier lorsqu’il s’agit des avant-gardes russes des années 1920 ? Les interroger devient d’ailleurs d’autant plus décisif que l’on mystifie largement ces termes.
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